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08/09 Nativité de la Bse Vierge Marie

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On célébrait ce jour-ci à Rome sous Honorius Ier (625-638), St Adrien (aujourd’hui seulement commémoré) : la fête de la Nativité est affirmée sous Serge Ier (687-701) : elle apparaît donc au VIIème siècle. En Orient, cette fête marque le début de l’année liturgique.

Les anciens antiphonaires reprennent aujourd’hui les chant de l’Assomption (ceux de la messe d’avant 1950, voir ici en fin de page). Le missel de St Pie V utilise un formulaire commun à la Visitation sauf les deux lectures.

(Leçons des Matines
AU PREMIER NOCTURNE.
Commencement du Cantique des cantiques.
Première leçon. Qu’il me baise d’un baiser de sa bouche, car tes mamelles sont meilleures que le vin, odorantes comme les parfums les plus précieux. C’est une huile répandue que ton nom : c’est pour cela que les jeunes filles t’ont chéri. Entraîne-moi ; après toi nous courrons à l’odeur de tes parfums. Le roi m’a introduite dans ses celliers ; nous exulterons et nous tressaillirons d’allégresse en toi, nous souvenant de tes mamelles supérieures au vin ; les cœurs droits te chérissent. Je suis noire, mais je suis belle, ô filles de Jérusalem, comme les tabernacles de Cédar, comme les pavillons de Salomon.
Deuxième leçon. Ne considérez pas que je suis hâlée, parce que le soleil m’a décolorée, les fils de ma mère se sont élevés contre moi, ils m’ont placée à la garde des vignes, je n’ai pas gardé ma propre vigne. Indique-moi, ô toi que chérit mon âme, où tu fais paître, où tu te reposes à midi, afin que je ne m’expose pas à m’égarer à la suite des troupeaux de tes compagnons. Si tu ne te connais pas, ô la plus belle d’entre les femmes, sors et va sur les traces des troupeaux, et pais tes chevreaux près des tabernacles des pasteurs. A mes coursiers attelés aux chars de Pharaon, je t’ai comparée, mon amie, tes joues sont belles comme le plumage de la tourterelle ; ton cou est comme des colliers.
Troisième leçon. Nous vous ferons des chaînes d’or, marquetées d’argent. Tandis que le roi était sur son lit de table, mon nard a répandu son odeur. Mon bien-aimé est pour moi un bouquet de myrrhe ; il demeurera entre mes mamelles. Mon bien-aimé est pour moi comme une grappe de raisin de cypre dans les vignes d’Engaddi. Vois que tu es belle, mon amie ; vois que tu es belle ; tes yeux sont ceux des colombes. Vois que tu es beau, mon bien-aimé, et plein de grâces. Notre lit est couvert de fleurs ; les poutres de nos maisons sont de cèdres, nos lambris de cyprès.
AU DEUXIÈME NOCTURNE.
Sermon de S. Augustin, Evêque.
Quatrième leçon. Nous voici, mes très chers frères, au jour désiré, le jour de la bienheureuse et vénérable Marie, toujours vierge. Que notre terre, illustrée par la naissance d’une telle Vierge, se livre donc aux plus joyeux transports. Car elle est cette fleur des champs, d’où est sorti le précieux lis des vallées ; et c’est par son enfantement que le sort de nos premiers parents a été changé, et leur faute effacée. La sentence de malédiction prononcée contre Eve : « C’est dans la douleur que tu mettras au monde tes enfants, » Marie ne l’a point subie, puisque c’est dans la joie qu’elle a enfanté le Seigneur.
Cinquième leçon. Eve a gémi, Marie a tressailli d’allégresse ; Eve a porté dans son sein un fruit de larmes, et Marie un fruit de joie, attendu que l’une a enfanté un pécheur, et l’autre l’Innocent. La mère du genre humain a introduit le châtiment dans le monde, la Mère de notre Seigneur a apporté le salut. Eve a été la source du péché, et Marie, la source du mérite. Eve nous a été funeste, elle nous a donné la mort ; Marie nous a fait du bien, elle nous a rendu la vie. Celle-là nous a blessés, celle-ci nous a guéris. La désobéissance a été remplacée par l’obéissance, et l’incrédulité par la foi.
Sixième leçon. Que Marie touche maintenant les instruments d’harmonie, et que les doigts agiles de la Vierge-Mère frappent les tambourins sonores. Que nos chœurs joyeux lui répondent, et que le doux concert de nos voix alterne avec ses mélodieux cantiques. Écoutez donc ce que chanta notre musicienne inspirée : « Mon âme glorifie le Seigneur, et mon esprit a tressailli d’allégresse en Dieu mon Sauveur ; parce qu’il a regardé l’humilité de sa servante ; et voici que toutes les générations me diront bienheureuse ; car celui qui est puissant m’a fait de grandes choses. » Ainsi donc le prodige d’un enfantement tout nouveau a remédié à une faute qui nous avait perdus, et le chant de Marie a mis fin aux lamentations d’Eve.
AU TROISIÈME NOCTURNE.
Lecture du saint Évangile selon saint Matthieu.
Livre de la généalogie de Jésus-Christ, fils de David, fils d’Abraham. Abraham engendra Isaac. Isaac engendra Jacob. Et le reste.
Homélie de saint Jérôme, Prêtre.
Septième leçon. Nous lisons dans Isaïe : « Qui racontera sa génération ? » De ce que saint Matthieu, au début même de son Évangile, entreprend de raconter ce qui est ineffable, au dire d’Isaïe, ne pensons pas pour cela que l’Évangéliste contredit le Prophète ; car Isaïe parle de la génération divine, et saint Matthieu de l’incarnation. Or celui-ci commence par ce qui regarde la chair, afin que, par l’homme, nous commencions à connaître Dieu. « Fils de David, fils d’Abraham. » L’ordre est interverti, mais ce renversement est nécessaire. Car si l’Évangéliste avait nommé d’abord Abraham et en second lieu David, il aurait dû revenir à Abraham, pour enchaîner la suite de la généalogie.
Huitième leçon. Or il a donné Jésus-Christ comme fils de ces deux Patriarches, sans mentionner les autres, parce que le Christ avait été particulièrement promis à ces deux-là ; promis à Abraham en ces termes : « Toutes les nations seront bénies en ta postérité, » c’est-à-dire dans le Christ ; promis à David par ces paroles : « Je mettrai un fils du fruit de tes entrailles sur ton trône. » « De Thamar, Juda engendra Phares et Zara. » Il faut noter que, dans la généalogie du Sauveur, on ne nomme aucune des saintes femmes, mais seulement celles que l’Écriture juge répréhensibles : c’est afin de montrer que celui qui venait pour les pécheurs, en naissant des pécheurs, devait effacer les péchés de tous. Et c’est pour cela que Ruth la Moabite, et Bethsabée, femme d’Urie, sont nommées aux versets qui suivent.
Neuvième leçon. « Jacob engendra Joseph » A cette occasion, l’empereur Julien nous a objecté une dissonance dans les évangélistes, en ce que Matthieu appelle Joseph fils de Jacob, tandis que Luc le dit fils d’Héli. Il ne comprenait pas que d’après la coutume des Écritures, l’un était père selon la nature, et l’autre selon la loi. Nous savons, en effet, que, selon l’ordre de Dieu, il a été prescrit par Moïse, que lorsqu’un frère ou un parent mourait sans enfants, un autre prenait son épouse pour donner des descendants à son frère ou à son parent. « Joseph époux de Marie ». En entendant le mot de mari, écartez toute idée de noces, mais rappelez-vous que c’est l’habitude des Écritures d’appeler les fiancés mari et épouse.

die 8 septembris
le 8 septembre

IN NATIVITATE B. MARIÆ V.

NATIVITÉ DE LA Bse VIERGE MARIE

II classis (ante CR 1960 : duplex II classis cum Octava simplici)
IIème classe (avant 1960 : double de IIème classe avec Octave simple)
Ant. ad Introitum. Sedulius.Introït
Salve, sancta Parens, eníxa puérpera Regem : qui cælum terrámque regit in sǽcula sæculórum.Salut, ô Mère sainte ; mère qui avez enfanté le Roi qui régit le ciel et la terre dans les siècles des siècles.
Ps. 44, 2.
Eructávit cor meum verbum bonum : dico ego ópera mea Regi.De mon cœur a jailli une parole excellente, c’est que je consacre mes œuvres à mon Roi.
V/. Glória Patri.
Oratio.Collecte
Fámulis tuis, quǽsumus, Dómine, cæléstis grátiæ munus impertíre : ut, quibus beátæ Vírginis partus éxstitit salútis exórdium ; Nativitátis eius votiva solémnitas, pacis tríbuat increméntum. Per Dóminum.Seigneur, nous vous prions d’accorder à vos serviteurs le don de la grâce céleste ; et, comme l’enfantement de la bienheureuse Vierge a été le principe de leur salut, qu’ainsi la pieuse solennité de sa Nativité leur procure un accroissement de paix.
Et fit commemoratio S. Hadriani Mart. :Et on fait mémoire de St Adrien, Martyr :
Oratio.Collecte
Præsta, quǽsumus, omnípotens Deus : ut, qui beáti Hadriáni Mártyris tui natalícia cólimus, intercessióne eius, in tui nóminis amóre roborémur. Per Dóminum.Accordez, Dieu tout-puissant, à nous qui célébrons la naissance au ciel du bienheureux Adrien, votre Martyr, la grâce d’être, par son intercession, fortifiés dans l’amour de votre nom.
Léctio libri Sapiéntiæ.Lecture du Livre des Proverbes.
Prov. 8, 22-35.
Dóminus possédit me in inítio viárum suárum, ántequam quidquam fáceret a princípio. Ab ætérno ordináta sum, et ex antíquis, ántequam terra fíeret. Nondum erant abýssi, et ego iam concépta eram : necdum fontes aquárum erúperant : necdum montes gravi mole constíterant : ante colles ego parturiébar : adhuc terram nonfécerat et flúmina et cárdines orbis terræ. Quando præparábat cælos, áderam : quando certa lege et gyro vallábat abýssos : quando ǽthera firmábat sursum et librábat fontes aquárum : quando circúmdabat mari términum suum et legem ponébat aquis, ne transírent fines suos : quando appendébat fundaménta terræ. Cum eo eram cuncta compónens : et delectábar per síngulos dies, ludens coram eo omni témpore : ludens in orbe terrárum : et delíciæ meæ esse cum fíliis hóminum. Nunc ergo, fílii, audíte me : Beáti, qui custódiunt vias meas. Audíte disciplínam, et estóte sapiéntes, et nolíte abícere eam. Beátus homo, qui audit me et qui vígilat ad fores meas cotídie, et obsérvat ad postes óstii mei. Qui me invénerit, invéniet vitam et háuriet salútem a Dómino.Le Seigneur m’a possédée au commencement de ses voies, avant de faire quoi que ce soit, dès le principe. J’ai été établie dès l’éternité, et dès les temps anciens, avant que la terre fût créée. Les abîmes n’étaient pas encore, et déjà j’étais conçue ; les sources des eaux n’avaient pas encore jailli ; les montagnes ne s’étaient pas encore dressées avec leur pesante masse ; j’étais enfantée avant les collines. Il n’avait pas encore fait la terre, ni les fleuves, ni les bases du globe terrestre. Lorsqu’il préparait les cieux, j’étais là ; lorsqu’il environnait les abîmes de leurs bornes, par une loi inviolable ; lorsqu’il affermissait l’air dans les régions supérieures, et qu’il équilibrait les sources des eaux ; lorsqu’il entourait la mer de ses limites, et qu’il imposait une loi aux eaux, pour qu’elles ne franchissent point leurs bornes, lorsqu’il posait les fondements de la terre, j’étais avec lui, réglant toutes choses, et j’étais chaque jour dans les délices, me jouant sans cesse devant lui, me jouant sur le globe de la terre, et mes délices sont d’être avec les enfants des hommes. Maintenant donc, mes fils, écoutez-moi : Heureux ceux qui gardent mes voies. Ecoutez mes instructions et soyez sages, et ne les rejetez pas. Heureux l’homme qui m’écoute, et qui veille tous les jours à ma porte, et qui se tient à la porte de ma maison. Celui qui me trouvera, trouvera la vie, et puisera le salut dans le Seigneur.
Graduale. Graduel
Benedícta et venerábilis es, Virgo María : quæ sine tactu pudóris invénia es Mater Salvatóris.Vous êtes bénie et digne de vénération, Vierge Marie, qui avez été mère du Sauveur, sans que votre pureté ait subi d’atteinte.
V/. Virgo, Dei Génetrix, quem totus non capit orbis, in tua se clausit víscera factus homo.V/. Vierge, Mère de Dieu, Celui que tout l’univers ne peut contenir, s’est enfermé dans votre sein en se faisant homme.
Allelúia, allelúia. V/.
Felix es, sacra Virgo María, et omni laude digníssima : quia ex te ortus est sol iustítiæ, Christus, Deus noster. Allelúia.Vous êtes heureuse, sainte Vierge Marie, et tout à fait digne de louange, car de vous est sorti le soleil de justice, le Christ notre Dieu. Alléluia.
+ Initium sancti Evangélii secúndum Matthǽum.Début du Saint Evangile selon saint Mathieu.
Matth, 1, 1-16.
Liber generatiónis Iesu Christi, fílii David, fílii Abralam. Abraham génuit Isaac, Isaac autem génuit Iacob. Iacob autem génuit Iudam et fratres eius. Iudas autem génuit Phares et Zaram de Thamar. Phares autem génuit Esron. Esron autem génuit Aram. Aram autem génuit Amínadab. Amínadab autem génuit Naásson. Naásson autem génuit Salmon. Salmon autem génuit Booz de Rahab. Booz autem génuit Obed ex Ruth. Obed autem génuit Iesse. Iesse autem génuit David regem. David autem rex génuit Salomónem ex ea, quæ fuit Uríæ. Sálomon autem génuit Róboam. Róboam autem génuit Abíam. Abías autem génuit Asa. Asa autem génuit Iósaphat. Iósaphat autem génuit Ioram. Ioram autem génuit Ozíam. Ozías autem génuit Ióatham. Ióatham autem génuit Achaz. Achaz autem génuit Ezechíam. Ezechias autem génuit Manássen. Manásses autem génuit Amon. Amon autem génuit Iosíam. Iosías autem génuit Iechoníam et fratres eius in transmigratióne Babylónis. Et post transmigratiónem Babylónis : Iechonías génuit Saláthiel. Saláthiel autem génuit Zoróbabel. Zoróbabel autem génuit Abiud. Abiud autem génuit Elíacim. Elíacim autem génuit Azor. Azor autem génuit Sadoc. Sadoc autem génuit Achim. Achim autem génuit Eliud. Eliud autem génuit Eleázar. Eleázar autem génuit Mathan. Mathan autem génuit Iacob. Iacob autem génuit Ioseph, virum Maríæ, de qua natus est Iesus, qui vocátur Christus.Généalogie de Jésus-Christ, fils de David, fils d’Abraham. Abraham engendra Isaac ; Isaac engendra Jacob ; Jacob engendra Juda et ses frères ; Juda, de Thamar, engendra Pharès et Zara ; Phares engendra Esrom ; Esrom engendra Aram ; Aram engendra Aminadab ; Aminadab engendra Naasson ; Naasson engendra Salmon ; Salmon, de Rahab, engendra Booz ; Booz, de Ruth, engendra Obed ; Obed engendra Jessé ; Jessé engendra le roi David. David engendra Salomon de la femme d’Urie ; Salomon engendra Roboam ; Roboam engendra Abia ; Abia engendra Asa ; Asa engendra Josaphat ; Josaphat engendra Joram ; Joram engendra Ozias ; Ozias engendra Joatham ; Joatham engendra Achaz ; Achaz engendra Ezéchias ; Ezéchias engendra Manassé ; Manassé engendra Amon ; Amon engendra Josias ; Josias engendra Jéchonias et ses frères, au temps de la déportation à Babylone. Après la déportation à Babylone, Jéchonias engendra Salathiel ; Salatheil engendra Zorobabel ; Zorobabel engendra Abioud ; Abioud engendra Eliacim ; Eliacim engendra Azor ; Azor engendra Sadoc ; Sadoc engendra Achim ; Achim engendra Elioud ; Elioud engendra Eléazar ; Eléazar engendra Matthan ; Matthan engendra Jacob ; Jacob engendra Joseph l’époux de Marie, de laquelle est né Jésus, qu’on appelle Christ.
CredoCredo
Ant. ad Offertorium.Offertoire
Beáta es, Virgo María, quæ ómnium portásti Creatórem : genuísti qui te fecit, et in ætérnum pérmanes Virgo.Vous êtes bienheureuse, Vierge Marie, qui avez porté le Créateur de toutes choses ; vous avez enfanté celui qui vous a créée, et vous demeurez à jamais Vierge.
SecretaSecrète
Unigéniti tui, Dómine, nobis succúrrat humánitas : ut, qui, natus de Vírgine, Matris integritátem non mínuit, sed sacrávit ; in Nativitátis eius solémniis, nostris nos piáculis éxuens, oblatiónem nostram tibi fáciat accéptam Iesus Christus, Dóminus noster : Qui tecum vivit.Qu’elle nous porte secours, Seigneur, la bonté de votre Fils unique, qui né d’une Vierge, n’a point altéré l’intégrité de sa mere mais l’a consacrée, afin que nous purifiant de nos fautes en la solennité de sa Nativité, il vous rende notre oblation agréable, lui Jésus-Christ Notre-Seigneur qui…
Pro S. HadrianoPour St. Adrien
SecretaSecrète
Munéribus nostris, quǽsumus, Dómine, precibúsque suscéptis : et cæléstibus nos munda mystériis, et cleménter exáudi. Per Dóminum nostrum.Ayant accueilli nos dons et nos prières, nous vous en supplions, Seigneur, purifiez-nous par ces célestes mystères, et exaucez-nous dans votre clémence.
Præfatio de B. Maria Virg. Et te in Nativitáte. Préface de la bienheureuse Vierge Marie Et en la Nativité.
Ant. ad Communionem.Communion
Beáta viscera Maríæ Vírginis, quæ portavérunt ætérni Patris Fílium.Bienheureux le sein de la Vierge Marie, qui a porté le Fils du Père éternel.
PostcommunioPostcommunion
Súmpsimus, Dómine, celebritátis ánnuæ votiva sacraménta : præsta, quǽsumus ; ut et temporális vitæ nobis remédia prǽbeant et ætérnæ. Per Dóminum.Nous avons reçu, Seigneur, les choses saintes qui vous sont offertes en cette solennité annuelle, faites, nous vous en supplions, qu’elles nous donnent les remèdes spirituels utiles à la vie temporelle et conduisant à la vie éternelle.
Pro S. HadrianoPour St. Adrien
PostcommunioPostcommunion
Da, quǽsumus, Dómine, Deus noster : ut, sicut tuórum commemoratióne Sanctórum temporáli gratulámur offício ; ita perpétuo lætámur aspéctu. Per Dóminum nostrum.Faites, s’il vous plaît, Seigneur notre Dieu, que comme nous nous réjouissons d’honorer dans le temps, en cet office, la mémoire de vos Saints, nous puissions aussi nous réjouir de les voir dans l’éternité.