Textes de la Messe |
Office |
Dom Guéranger, l’Année Liturgique |
Bhx Cardinal Schuster, Liber Sacramentorum |
Dom Pius Parsch, le Guide dans l’année liturgique |
Déposition à Naples en 1608. Né en 1521, prêtre en 1545, religieux théatin en 1556. Canonisé en 1712. Fête en 1725.
On fêtait avant ce même jour les sts Tryphon, Respice, Martyrs, et Nymphe, Vierge et Martyre, réduits au rang de commémoraison dorénavant.
Missa Os iusti, de Communi Confessoris non Pont. 1 loco, præter orationem sequentem : | Messe Os iusti, du Commun d’un Confesseur non Êvéque, sauf l’oraison suivante : |
Oratio. | Collecte |
Deus, qui in corde beáti Andréæ Confessóris tui, per árduum cotídie in virtútibus proficiéndi votum, admirábiles ad te ascensiónes disposuísti : concéde nobis, ipsíus méritis et intercessióne, ita eiúsdem grátiæ partícipes fieri ; ut, perfectióra semper exsequéntes, ad glóriæ tuæ fastígium felíciter perducámur. Per Dóminum | O Dieu, qui, par le vœu héroïque de faire chaque jour des progrès dans la vertu, avez disposé dans le cœur de votre Confesseur, le bienheureux André, des degrés admirables pour s’élever à vous ; accordez-nous, par ses mérites et son intercession, de participer à cette même grâce, de sorte que, tendant toujours au plus parfait, nous parvenions heureusement au faîte de votre gloire. |
Et fit commemoratio Ss. Tryphonis, Respicii et Nymphæ Virg., Mm. : | Et on fait mémoire des Sts Tryphon, Respice et Nymphe, Vierge, Martyrs : |
Oratio. | Collecte |
Fac nos, quǽsumus, Dómine, sanctórum Mártyrum tuórum Tryphónis, Respícii et Nymphæ semper festa sectári : quorum suffrágiis, protectiónis tuæ dona sentiámus. Per Dóminum. | Faites, nous vous en prions, Seigneur, que nous honorions toujours la fête de vos saints Martyrs, Tryphon, Respice et Nymphe, afin que, favorisés de leurs suffrages, nous éprouvions les bienfaits de votre protection. |
Secreta C | Secrète C |
Laudis tibi, Dómine, hóstias immolámus in tuórum commemoratióne Sanctórum : quibus nos et præséntibus éxui malis confídimus et futúris. Per Dóminum. | Nous vous immolons, Seigneur, une hostie de louange en mémoire de vos saints en qui nous avons confiance pour obtenir de triompher des maux de la vie présente et d’échapper aux maux de la vie future. |
Pro Ss Martyribus | Pour les Sts Martyrs |
Secreta | Secrète |
Múnera tibi, Dómine, nostræ devotiónis offérimus : quæ et pro tuórum tibi grata sint honóre iustórum, et nobis salutária, te miseránte, reddántur. Per Dóminum nostrum. | Nous vous offrons, Seigneur, ces dons de notre piété ; qu’ils vous soient agréables en l’honneur de vos justes et qu’ils nous soient rendus salutaires, grâce à votre miséricorde. |
Postcommunio C | Postcommunion C |
Refécti cibo potúque cælésti, Deus noster, te súpplices exorámus : ut, in cuius hæc commemoratióne percépimus, eius muniámur et précibus. Per Dóminum. | Nourris par un aliment et un breuvage célestes, nous vous prions et supplions, ô notre Dieu, de faire que nous soit assuré le secours des prières de celui en la fête de qui nous les avons reçus. |
Pro Ss Martyribus | Pour les Sts Martyrs |
Postcommunio | Postcommunion |
Præsta nobis, quǽsumus, Dómine : intercedéntibus sanctis Martýribus tuis Tryphóne, Respício et Nympha ; ut, quod ore contíngimus, pura mente capiámus. Per Dóminum. | Accordez-nous, s’il vous plaît, Seigneur, que grâce à l’intercession de vos saints martyrs Tryphon, Respice et Nymphe nous gardions dans un cœur pur, ce que notre bouche a reçu. |
Leçons des Matines avant 1960
Quatrième leçon. André Avellin, auparavant nommé Lancelot, naquit dans un bourg de Lucanie appelé Castronuovo, et donna dès son enfance des marques non équivoques de sa future sainteté. Arrivé à l’adolescence, il-dut s’éloigner de la maison paternelle pour étudier les lettres ; mais il traversa cette phase dangereuse de la vie en s’appliquant, au milieu de ses études, à ne perdre jamais de vue « la crainte de Dieu qui est le commencement de la sagesse. » Joignant à une rare beauté un amour de la chasteté qui lui fit éviter les embûches de femmes impudiques, il les repoussa même quelquefois par la force ouverte. Enrôlé dans la milice cléricale, il se rendit à Naples pour étudier le droit, et y obtint le titre de docteur ; mais ayant été élevé à la dignité sacerdotale, il plaida seulement au for ecclésiastique et pour quelques particuliers, suivant les règles des saints canons. Mais un léger mensonge lui ayant un jour échappé dans sa plaidoirie, ouvrant ensuite comme par hasard la sainte Écriture, il y tomba sur ce passage : « La bouche menteuse tue l’âme, » et fut saisi d’une telle douleur de sa faute, d’un tel repentir, qu’il résolut aussitôt de quitter son genre de vie. Abandonnant donc le barreau, il se consacra entièrement au culte divin et au saint ministère. Ses éminents exemples de toutes les vertus ecclésiastiques portèrent l’Archevêque de Naples à lui confier la direction d’une maison de religieuses. Ayant éprouvé dans cet emploi la haine d’hommes pervers, il put échapper à un premier attentat contre sa vie ; mais, peu après, un assassin lui fit trois blessures au visage, sans que cette cruelle injure troublât son égalité d’âme. Le vif désir de mener une vie plus parfaite lui fit solliciter avec instance d’être admis parmi les Clercs réguliers, et, son vœu ayant été exaucé, il obtint, à cause du grand amour de la croix qui l’embrasait, qu’on lui imposât le nom d’André.
Cinquième leçon. Entré avec une joyeuse ardeur dans la carrière d’une vie plus austère, il s’appliqua surtout à des exercices de vertu, auxquels il s’astreignit même par des vœux très difficiles à garder, à savoir : l’un, de combattre constamment sa propre volonté, l’autre, d’avancer toujours plus avant dans le chemin de la perfection chrétienne. Fidèle observateur de la discipline religieuse, André eut très grand soin de la faire observer par les autres, quand il fut à leur tête. Tout le temps que lui laissaient la charge de son institut et l’accomplissement de sa règle, il le donnait à l’oraison et au salut des âmes. Dans l’audition des confessions, son admirable piété et sa prudence parurent avec éclat. Il parcourait fréquemment les villes et les villages des environs de Naples en ministre de l’Évangile, au grand profit des âmes. Le Seigneur se plut à illustrer, même par des prodiges, cette ardente charité du saint homme envers le prochain. Comme il revenait chez lui pendant une nuit d’orage, après avoir entendu la confession d’un malade, la pluie et la violence du vent éteignirent le flambeau qui éclairait sa marche ; or, non seulement ses compagnons et lui ne furent aucunement mouillés, malgré cette pluie torrentielle, mais son corps projeta miraculeusement une clarté extraordinaire, qui servit à guider ses compagnons au milieu des ténèbres les plus épaisses. André pratiqua l’abstinence, la patience, le mépris et la haine de soi avec le plus grand soin et excella dans l’exercice de ces vertus. Il supporta, sans qu’aucun trouble agitât son âme, le meurtre dont le fils de son frère fut victime, réprimant chez les siens tout désir de vengeance, allant même jusqu’à implorer pour les meurtriers la clémence et l’assistance des juges.
Sixième leçon. Il propagea dans beaucoup d’endroits l’Ordre des Clercs réguliers et leur fonda des maisons à Plaisance et à Milan. Deux Cardinaux, saint Charles Borromée et Paul d’Arezzo, Clerc régulier, qui l’avaient en très grande affection, recoururent à ses services dans les soins de la charge pastorale. André aimait et honorait singulièrement la Vierge, Mère de Dieu ; il mérita de jouir de la conversation des Anges, et attesta les avoir entendus chanter au ciel, pendant que lui-même célébrait les louanges divines. Enfin, après avoir donné d’héroïques exemples de vertus ; après s’être rendu célèbre par le don de prophétie, qui lui faisait voir clairement des faits éloignés ou futurs, comme par celui de pénétration des cœurs, déjà chargé d’années et épuisé par les fatigues, il fut frappé d’apoplexie, au moment où, après avoir répété pour la troisième fois le verset : « Je m’approcherai de l’autel de Dieu, » il allait monter à l’autel pour célébrer. Ayant été aussitôt muni des sacrements, André expira de la manière la plus douce, au milieu des siens. Son corps est vénéré jusqu’en ces temps-ci, dans l’église de Saint-Paul, à Naples, par un aussi grand concours de peuple qu’au moment où on l’inhuma. En raison des miracles éclatants opérés par lui durant sa vie et après sa mort, le souverain Pontife Clément XI l’inscrivit au catalogue des Saints avec les solennités accoutumées.
On sait quelle moisson l’Esprit-Saint fit germer du sol de l’Église au XVIe siècle, en réponse au reproche d’épuisement formulé contre elle. André fut l’un des plus méritants coopérateurs de l’Esprit dans l’œuvre de sainte réformation, de renaissance surnaturelle, qui s’accomplit alors. L’éternelle Sagesse avait comme, toujours laissé l’enfer s’essayer le premier, mais pour sa honte, à se parer de ces grands noms de renaissance et de réforme.
Depuis neuf ans saint Gaétan avait quitté la terre, la laissant réconfortée déjà par ses œuvres, tout embaumée de ses vertus ; l’ancien évêque de Théate, son auxiliaire et compagnon dans la fondation des premiers Clercs réguliers, avait ceint la tiare et gouvernait l’Église sous le nom de Paul IV : c’était l’heure [1] où une nouvelle faveur du ciel donnait aux Théatins, dans la personne de notre bienheureux, un héritier des dons surnaturels et de l’héroïque sainteté qui avaient fait de Gaétan le zélateur du sanctuaire. Il fut l’ami et l’appui du grand évêque de Milan, Charles Borromée, qu’il rejoint aujourd’hui dans la gloire. Ses pieux écrits continuent de servir l’Église. Lui-même sut se former d’admirables disciples, comme ce Laurent Scupoli qui fut l’auteur du Combat spirituel, si grandement apprécié par l’Évêque de Genève [2].
Combien furent suaves et fortes à votre endroit les voies de l’éternelle Sagesse [3], ô bienheureux André, quand de la légère faute où vous étiez tombé par surprise en cette vallée des larmes, elle fit le point de départ de la sainteté qui resplendit en vous ! La bouche qui ment tue l’âme [4], disait-elle ; et comme elle ajoutait : Ne mettez pas votre zèle en cette vie par une erreur funeste à poursuivre la mort, n’employez pas vos œuvres à acquérir la perdition [5], elle fut pleinement comprise ; le but de la vie vous apparut tout autre, ainsi que le montrèrent les vœux qu’elle-même vous inspira pour sans cesse vous éloigner de vous-même, et sans cesse vous rapprocher du souverain Bien. Avec l’Église [6], nous glorifions le Seigneur qui disposa de si admirables ascensions dans votre âme [7]. Comme l’annonçait le Psaume, cette marche toujours progressive de vertu en vertu vous amène aujourd’hui dans Sion, où vous voyez le Dieu des dieux [8].
Votre cœur, votre chair, tressaillaient pour le Dieu vivant ; votre âme, absorbée dans l’amour des parvis sacrés, défaillait à leur pensée [9]. Quoi d’étonnant qu’une suprême défaillance au pied des autels du Seigneur des armées, vous donne entrée dans sa maison bienheureuse ? Avec quelle joie vos angéliques associés de ce monde en la divine louange vous accueillent dans les chœurs éternels [10] !
Ayez égard aux hommages de la terre. Daignez répondre à la confiance de Naples et de la Sicile, qui se recommandent de votre puissant patronage auprès du Seigneur. Unissez-vous, pour bénir la pieuse famille des Clercs réguliers Théatins, à saint Gaétan, son père et le vôtre. Pour nous tous, implorez une part dans les bénédictions qui vous furent si abondamment départies [11]. Puissent les vains plaisirs que Ton goûte sous les tentes des pécheurs ne nous séduire jamais, l’humilité de la maison de Dieu avoir nos préférences sur toute grandeur mondaine [12]. Si comme vous nous aimons la miséricorde et la vérité, le Seigneur nous donnera comme à vous la grâce et la gloire [13]. Au souvenir des circonstances où s’accomplit votre fin bienheureuse, le peuple chrétien honore en vous un protecteur contre la mort subite et imprévue : gardez-nous dans le dernier passage ; que l’innocence de notre vie ou la pénitence en préparent l’issue fortunée ; que notre soupir final s’exhale, pareil au vôtre, dans l’espérance et l’amour [14].
Ce célèbre missionnaire napolitain, gloire de la Congrégation des Clercs réguliers institués par saint Gaétan de Thienne, fait partie de ce groupe admirable de saints qui, comme [saint Charles Borromée-543], le bienheureux Paul d’Arezzo, saint Gaétan lui-même, provoquèrent le salutaire mouvement de réforme catholique dont le résultat est représenté par le Concile de Trente.
Saint André Avellin fut le directeur spirituel du séminaire épiscopal de Plaisance où on conserve toujours son souvenir. Il est invoqué par les fidèles comme céleste protecteur contre les attaques d’apoplexie et la mort subite ; car lui-même mourut d’une attaque d’apoplexie qui le surprit au pied de l’autel tandis qu’il répétait la parole du Psalmiste : Introibo ad altare Dei (+ 1608).
La messe est celle du Commun des Confesseurs : Os Iusti. Seule la première collecte est propre, et, conformément à l’usage moderne, elle fait l’historique des vertus du Saint, avec une application morale pour les fidèles.
Prière. — « Seigneur qui, au moyen du vœu difficile de progresser chaque jour dans la vertu, avez préparé dans le cœur du bienheureux André d’admirables élévations jusqu’à vous ; ah ! par ses mérites et son intercession, accordez-nous d’avoir part à cette grâce, en sorte que, poursuivant toujours ce qui est plus parfait, nous puissions arriver heureusement au faîte de votre gloire. »
Dans la vie présente, la sainteté ne saurait être envisagée comme quelque chose d’extérieur, comme un vêtement tout fait, qu’il suffit de prendre sans plus avoir à y penser. La grâce baptismale dépose en nous le Christ comme un germe, — quos iterum parturio, donec formetur Christus in vobis, — et il nous appartient de le faire mystiquement revivre. Ce Christ est le principe d’une vie intense et surabondante, qui croît et se développe jusqu’à cette mensura aetatis plenitudinis Christi établie par Dieu pour chacun de nous. Quand cette mesure ou cette conformité est atteinte, notre séjour ici-bas n’a plus de but, et au temps succède alors l’éternité. Nous sommes sur cette terre comme des statues dans l’atelier d’un sculpteur ; lorsque l’artiste a donné sa dernière retouche, le chef-d’œuvre est retiré de l’atelier et placé à l’endroit pour lequel il a été fait.
« La bouche qui ment donne la mort à l’âme »
Saint André. — Jour de mort : 10 novembre 1608 (à l’âge de 87 ans). Tombeau : à Naples, dans l’église Saint Paul (des Théatins). Image : On le représente en moine théatin, tenant son bréviaire et accompagné d’un ange. Vie : Saint André fut d’abord, comme prêtre, avocat auprès du tribunal ecclésiastique. Comme un léger mensonge lui avait un jour échappé au cours d’une plaidoirie, le hasard voulut qu’aussitôt après il lût cette parole de la Sainte Écriture : « La bouche qui ment donne la mort à l’âme » (Sagesse, 1, II). Ce texte fit sur lui une si profonde impression qu’il renonça à ses fonctions pour se consacrer uniquement au service de Dieu et des âmes. En 1560, il entra dans l’ordre des Théatins et demanda à porter le nom d’André par amour pour la croix du Christ ; il se dévoua avec un grand zèle au bien des âmes. Il confessait les pécheurs avec une charité et une prudence de père. Il parcourut fréquemment toute la région de Naples, villes et villages, pour y annoncer la salutaire doctrine de l’Évangile. Dieu lui-même glorifia souvent par des miracles l’ardente charité de ce saint prêtre. Comme il revenait une fois d’administrer les derniers sacrements à un malade, la pluie et le vent éteignirent sa lanterne. Mais le Seigneur permit que ni lui ni ses compagnons ne fussent mouillés si peu que ce fût par la pluie qui tombait à torrents et même qu’une lumière rayonnant de son corps leur montrât le chemin à travers les épaisses ténèbres. 11 était très recherché comme directeur de conscience. Le nombre de ses lettres s’élève à plusieurs milliers. Épuisé par le travail et affaibli par l’âge, il fut frappé d’une attaque d’apoplexie au pied de l’autel au moment où il commençait la messe et répétait pour la troisième fois : « Je m’approcherai de l’autel de Dieu. » En raison de sa mort soudaine, il est invoqué comme protecteur contre la mort subite. — Pratique : La vie du saint est pour nous un enseignement ; ainsi devons-nous autant que possible recueillir à chaque fête de saint un trait ou deux pour en faire notre guide pendant la journée : Comment nous comportons-nous à l’égard de la vérité ? La parole de l’Écriture : « La bouche qui ment donne la mort à l’âme » devrait résonner à nos oreilles pendant toute la journée. — Où en est notre amour de la croix du Christ ? Serions-nous heureux de porter également le nom d’André par amour de la croix ? — Quelle belle mort que la mort au pied de l’autel ! Prions pour obtenir la grâce de ne pas mourir, au moins, sans avoir reçu les derniers sacrements. — La Messe est du commun des confesseurs (Os justi). L’Oraison propre loue son zèle pour la perfection et le demande pour nous.
[1] 1556.
[2] « Il est clair et tout practiquable. Ouy, ma fille, le Combat spirituel est un grand livre, et mon cher livre, que je porte en ma poche il y a bien dix-huit ans et que je ne relis jamais sans proffit. » S. François de Sales, Lettres spirit. LXXI, LXXIX, LXXXI, édition Vives.
[3] Sap. VIII, I.
[4] Ibid. I, 11.
[5] Ibid. 12.
[6] Collecte du jour.
[7] Psalm. LXXXIII, 6.
[8] Psalm. LXXXIII, 8.
[9] Ibid. 2, 3.
[10] Ibid. 4, 5.
[11] Ibid. 8.
[12] Ibid. 11.
[13] Ibid. 12.
[14] Ibid. 13.