Diocèses de Nancy et de Toul, St Dié et Verdun.
Dans le Diocèse de Nancy et de Toul |
Dans le Diocèse de St-Dié |
Dans le Diocèse de Verdun |
Pierre Fourier est né à Mirecourt le 30 novembre 1565 de commerçants aisés. Ayant reçu de ses parents une éducation familiale très soignée, il fit ses premières études dans sa ville natale parmi les « enfants prêtres » (enfants destinés au sacerdoce),puis à partir de 1578, il les continua à l’Université de Pont-à-Mousson où il manifesta d’exceptionnelles qualités intellectuelles en même temps qu’une très vive piété.
En 1585, il entra chez les Chanoines réguliers de Chaumouzey près d’Épinal. Ordonné prêtre en 1589, il reprit l’étude de la théologie à Pont-à-Mousson, puis rentra dans son abbaye et en 1597, fut nommé curé de Mattaincourt, gros village commerçant, voisin de sa ville natale.
A une grande austérité de vie, Pierre Fourier joignit une activité pastorale admirable : prédication et enseignement solidement assis sur de vastes connaissances et sur un travail ininterrompu ; charité inépuisable à l’égard de tous ; cérémonies du culte célébrées avec un éclat inaccoutumé.
Pierre Fourier ne limita pas ses activités à la seule paroisse de Mattaincourt. Soucieux de l’instruction des petites filles, il fonda dès 1597, avec le concours de la bienheureuse Alix Le Clerc une association qui devint bientôt la « Congrégation de Notre-Dame », et se répandit rapidement dans le pays, et même en France voisine. Il entreprit également la réforme des Chanoines réguliers, ordre auquel il appartenait, et groupa leurs maisons en une « Congrégation de Notre-Sauveur ». Il fut encore un missionnaire zélé et la région de Badonviller a gardé une vive reconnaissance au « Bon Père » qui, en 1625, la ramena du protestantisme au sein de l’Église catholique. Conseiller volontiers écouté à la cour de Lorraine, Pierre Fourier fut, à la fin de sa vie, victime de son patriotisme. Il dut quitter son pays envahi par les troupes françaises, et mourut en exil à Gray, le 9 décembre 1640. Il a été canonisé par le pape Léon XIII le 27 mai 1897.
Dans le Diocèse de Nancy et de Toul | |
Ant. ad Introitum. II Paral.29, 5, 4 et 11. | Introït |
Ipse Sacerdótes et Levítas congregávit ; dixítque ad eos : Audíte me, et sanctificámini ; auférte omnem immundítiam de sanctuário : fílii mei, nolíte neglígere : vos elégit Dóminus, ut stetis coram eo, colatísque eum. | Il réunit les Prêtres et les Lévites et leur dit : « Écoutez-moi et soyez saints ; jetez hors du sanctuaire ce qui est impur. Mes enfants, ne soyez pas négligents. Dieu vous a choisis, pour que vous vous teniez en sa présence et que vous l’honoriez. » |
Ps. 43, 2. | |
Deus, áuribus nostris audívimus : patres nostri annuntiavérunt nobis. | Mon Dieu (ce que tu as fait autrefois) nous l’avons entendu de nos oreilles, et nos pères nous l’ont raconté. |
V/.Glória Patri. | |
Oratio. | Collecte |
Deus, qui beáto Petro ardentíssima caritáte tibi conjúncto, ut némini obésset, et ómnibus prodésset, inspiráre dignátus es : concéde propítius ; ut ejúsdem précibus et exémplis, quæ tibi placent, et nobis ac áliis vere prosunt, constánter operémur. | Seigneur Dieu, vous avez inspiré à saint Pierre Fourier, qui vous était uni en une ardente charité, le désir de ne nuire à personne et d’être utile à tous. Accordez-nous par le secours de ses prières et de ses exemples, de faire constamment ce qui vous plaît et ce qui peut être vraiment utile à nous-mêmes et aux autres. |
Et fit Commemoratio Feriæ. | Et on fait mémoire de la Férie de l’Avent. |
Lectio Malachíæ Prophétæ. | Lecture du Prophète Malachie. |
2, 5-7. | |
Dixit Dóminus exercítuum : Pactum meum fuit cum eo vitæ et pacis : et dedi ei timórem, et tímuit me, et a fácie nóminis mei pavébat. Lex veritátis fuit in ore ejus, et iníquitas non est invénta in lábiis ejus : in pace et in æquitáte ambulávit mecum, et multos avértit ab iniquitáte. Lábia enim sacerdótis custódient sciéntiam, et legem requírent ex ore ejus : quia ángelus Dómini exercítuum est. | Voici ce que dit le Seigneur tout-puissant : « Mon alliance avec lui fut une alliance de vie et de paix. Je lui ai donné la crainte et il m’a respecté. Il tremblait en ma présence. La Loi de la Vérité fut dans sa bouche et le mensonge ne se trouva point sur ses lèvres ; il marcha avec moi dans la paix et la justice et il détourna les hommes du péché. Car les lèvres du prêtre doivent conserver la Science de Dieu et sa bouche doit proclamer la loi ; il est l’envoyé du Seigneur tout-puissant. » |
Graduale. Eccli. 49, 17. | Graduel |
Natus est homo, firmaméntum gentis, rector fratrum, stabilímentum pópuli. | Un homme est né, pour affermir sa race, pour conduire ses frères, pour soutenir son peuple. |
V/. Hebr. 11, 4-5. Defúnctus adhuc lóquitur, quia testimónium hábuit placuísse Deo. | V/. Même mort, il prêche encore parce qu’on a pu témoigner qu’il plaisait à Dieu. |
Allelúia, allelúia. V/. Eccli. 49, 2-3. In omni ore quasi mel indulcábitur ejus memória : ipse est diréctus divínitus in pæniténtiam gentis, et tulit abominatiónes impietátis. Allelúia | Allelúia, allelúia. V/. Sa mémoire sera douce au souvenir comme le miel à la bouche : bien inspiré il opéra la réforme du peuple et fit disparaître les horreurs de l’impiété. Alléluia ! |
+ Sequéntia sancti Evangélii secundum Matthǽum. | Lecture du Saint Evangile selon saint Mathieu. |
24, 45-47. | |
In illo tempore : Dixit Jesus discípulis suis : Quis, putas, est fidélis servus et prudens, quem constítuit dóminus super famíliam suam, ut det illis cibum in témpore ? Beátus ille servus quem, cum vénerit dóminus ejus, invénerit sic faciéntem. Amen dico vobis, quóniam super ómnia bona súa constítuet eum. | En ce temps-là, Jésus dit à ses disciples : « Que direz-vous de l’intendant consciencieux et prévoyant que le maître a mis à la tête de sa maison pour donner à chacun la nourriture au temps voulu ? Qu’il est heureux ce serviteur, si le maître, à son retour, le trouve à son travail. En vérité, je vous l’affirme, il lui confiera l’administration de tous ses biens. » |
Ant. ad Offertorium. Eccli. 50, 13 et 15. | Offertoire |
Ipse stans juxta aram ; et circa illum coróna fratrum, quasi plantátio cedri in Líbano : et oblátio Dómini in mánibus ipsórum. | Il se tenait près de l’autel, et autour de lui ses frères formaient une couronne, comme une plantation de cèdres au Liban ; et l’offrande du Seigneur était dans leurs mains. |
Secreta. | Secrète |
Te, Dómine, fídei nostræ salutísque auctórem cum beáto Petro confiténtes : quǽsumus ; ut hanc de mánibus nostris hóstiam laudis cleménter suscípias, quam ipse tanto cordis afféctu, tanta mentis puritáte, pro frátribus suis et óvibus sibi commíssis óbtulit. | Seigneur, nous vous reconnaissons, avec saint Pierre Fourier, comme l’auteur de notre foi et notre salut. Nous vous demandons d’accepter de nos mains ce sacrifice de louange que lui-même, dans l’élan de son cœur et la pureté de son âme, offrit pour ses frères et pour le troupeau dont il avait la charge. |
Et fit Commemoratio Feriæ. | Et on fait mémoire de la Férie de l’Avent. |
Præfatio de Adventu. | Préface de l’Avent |
Ant. ad Communionem. Levit. 22, 7. | Communion |
Mundátus vescétur de sanctiflcátis. quia cibus illíus est. | Après s’être purifié, il pourra manger les offrandes consacrées, car c’est là sa nourriture. |
Postcommunio. | Postcommunion |
Deus, qui beátum Petrum, Confessórem tuum, ad honórem Sacerdótii evexísti, ut panem verbi et córporis tui in Ecclésia dispensáret : ejus imitatióne, da nobis, ad eámdem dispensatiónem vocátis, et docére ex sinceritáte quæ recta sunt, et sancta tua digne et fidéliter ministráre. | Dieu, qui avez élevé saint Pierre Fourier à l’honneur du Sacerdoce, pour qu’il dispense à l’Église le pain de votre parole et de votre Corps, donnez-nous, à son exemple, puisque nous sommes appelés à la même fonction, d’enseigner le bien avec sincérité et d’administrer vos sacrements avec dignité et fidélité. |
Et fit Commemoratio Feriæ. | Et on fait mémoire de la Férie de l’Avent. |
Dans le Diocèse de St-Dié | |
Ant. ad Introitum. 2 Chron. 31, 20-21. | Introït |
Operátus est bonum, et rectum coram Dómino Deo suo : in univérsa cultúra ministérii domus Dómini prosperátus est. | Il fit devant le Seigneur son Dieu ce qui est bon et droit : Quoiqu’il entrepris pour la maison du Seigneur, il réussit. |
Ps. 33, 12. | |
Veníte, fílii, audíte me : timorem Dómini docébo vos. | Venez, mes fils, écoutez-moi : je vous enseignerai la crainte du Seigneur. |
V/. Glória Patri. | |
Oratio. | Collecte |
Deus, qui beáto Petro ardentíssima caritáte tibi conjúncto, ut némini obésset, et ómnibus prodésset, inspiráre dignátus es : concéde propítius ; ut ejúsdem précibus et exémplis, quæ tibi placent, et nobis ac áliis vere prosunt, constánter operémur. | Seigneur Dieu, vous avez inspiré à saint Pierre Fourier, qui vous était uni en une ardente charité, le désir de ne nuire à personne et d’être utile à tous. Accordez-nous par le secours de ses prières et de ses exemples, de faire constamment ce qui vous plaît et ce qui peut être vraiment utile à nous-mêmes et aux autres. |
Et fit Commemoratio Feriæ. | Et on fait mémoire de la Férie de l’Avent. |
Lectio Epístolæ beáti Pauli Apóstoli ad Thessalonicénses. | Lecture de l’Epître de saint Paul aux Thessaloniciens. |
1 Thess. 2, 2-12 | |
Fratres : Fidúciam habúimus in Dómino nostro, loqui ad vos Evangélium Dei in multa sollicitúdine. Exhortátio enim nostra non de erróre, neque de immundítia, neque in dolo ; sed sicut probáti sumus a Deo, ut crederétur nobis Evangélium : ita lóquimur, non quasi homínibus placéntes, sed Deo, qui probat corda nostra. Neque enim aliquándo fúimus in sermóne adulatiónis, sicut scitis : neque in occasióne avarítiæ : Deus testis est : nec quæréntes ab homínibus glóriam, neque a vobis, neque ab áliis. Cum possémus vobis óneri esse, ut Christi Apóstoli ; sed facti sumus párvuli in médio vestrum, tamquam si nutrix fóveat fílios suos. Ita desiderántes vos, cúpide volebámus trádere vobis non solum Evangélium Dei, sed etiam ánimas nostras, quóniam caríssimi nobis facti estis. Memores enim estis, fratres, labóris nostri, et fatigatiónis : nocte ac die operántes, ne quem vestrum gravarémus, prædicávimnus in vobis Evangelium Dei. Vos testes estis, et Deus, quam sancte, et juste, eí sine queréla, vobis, qui credidístis, fúimus : sicut scitis quáliter unumquémque vestrum (sicut pater fílios suos) deprecántes vos, et consolántes testificáti sumus, ut ambularétis digne Deo, qui vocávit vos in suum regnum et glóriam. | Mes Frères : Si, pour vous annoncer l’Évangile en dépit de tant de difficultés, nous avons montré une telle assurance, c’est en Dieu que nous l’avons trouvée. Notre prédication ne procède ni de l’erreur, ni d’intentions impures ; elle n’use pas de diplomatie. Mais puisque Dieu nous a jugé digne de nous confier son Évangile, nous ne parlons pas pour plaire aux hommes, mais à Dieu qui juge notre cœur. De fait, à aucun moment, nous n’avons employé des paroles de flatterie, vous le savez bien. Jamais nous n’avons cherché de profits personnels, Dieu en est témoin ; nous n’avons pas ambitionné une célébrité parmi les hommes, ni chez vous, ni ailleurs. Comme apôtres du Christ, nous aurions pu cependant rester à votre charge ; mais nous nous sommes comportés parmi vous avec une simplicité d’enfants. Et comme une mère entoure de tendresse les enfants qu’elle nourrit, dans notre affection pour vous, nous désirons vivement vous donner non seulement l’Évangile de Dieu, mais encore notre vie. Car vous êtes devenus très chers à notre cœur. Vous vous rappelez, frères, nos labeurs, nos fatigues ; c’est en travaillant nuit et jour, pour n’être à charge à aucun de vous, que nous avons prêché l’Évangile de Dieu. Combien sainte, juste et irréprochable a été notre conduite envers vous les croyants, vous en êtes témoins, et Dieu aussi. Vous le savez : tel un père avec ses enfants, nous vous avons, chacun de vous, exhortés, encouragés, adjurés de mener une vie digne du Dieu qui vous appelle à son royaume et à sa gloire. |
Graduale. Eccli. 49, 17. | Graduel |
Natus est homo, firmaméntum gentis, rector fratrum, stabilímentum pópuli. | Un homme est né, pour affermir sa race, pour conduire ses frères, pour soutenir son peuple. |
V/. Hebr. 11, 4-5. Defúnctus adhuc lóquitur, quia testimónium hábuit placuísse Deo. | V/. Même mort, il prêche encore parce qu’on a pu témoigner qu’il plaisait à Dieu. |
Allelúia, allelúia. V/. Eccli. 49, 2-3. In omni ore quasi mel indulcábitur ejus memória : ipse est diréctus divínitus in pæniténtiam gentis, et tulit abominatiónes impietátis. Allelúia | Allelúia, allelúia. V/. Sa mémoire sera douce au souvenir comme le miel à la bouche : bien inspiré il opéra la réforme du peuple et fit disparaître les horreurs de l’impiété. Alléluia ! |
+ Sequéntia sancti Evangélii secundum Matthǽum. | Lecture du Saint Evangile selon saint Mathieu. |
24, 45-47. | |
In illo tempore : Dixit Jesus discípulis suis : Quis, putas, est fidélis servus et prudens, quem constítuit dóminus super famíliam suam, ut det illis cibum in témpore ? Beátus ille servus quem, cum vénerit dóminus ejus, invénerit sic faciéntem. Amen dico vobis, quóniam super ómnia bona súa constítuet eum. | En ce temps-là, Jésus dit à ses disciples : « Que direz-vous de l’intendant consciencieux et prévoyant que le maître a mis à la tête de sa maison pour donner à chacun la nourriture au temps voulu ? Qu’il est heureux ce serviteur, si le maître, à son retour, le trouve à son travail. En vérité, je vous l’affirme, il lui confiera l’administration de tous ses biens. » |
Ant. ad Offertorium. Prov. 17, 6. | Offertoire |
Coróna senum fílii filiórum, et glória filiórum patres eórum. | Les enfants de leurs enfants sont la couronne des vieillards, et les pères sont la gloire de leurs enfants. |
Secreta | Secrète |
Te, Dómine, fídei nostræ salutísque auctórem cum beáto Petro confiténtes : quǽsumus ; ut hanc de mánibus nostris hóstiam laudis cleménter suscípias, quam ipse tanto cordis afféctu, tanta mentis puritáte, pro frátribus suis et óvibus sibi commíssis óbtulit. | Seigneur, nous vous reconnaissons, avec saint Pierre Fourier, comme l’auteur de notre foi et notre salut. Nous vous demandons d’accepter de nos mains ce sacrifice de louange que lui-même, dans l’élan de son cœur et la pureté de son âme, offrit pour ses frères et pour le troupeau dont il avait la charge. |
Et fit Commemoratio Feriæ. | Et on fait mémoire de la Férie de l’Avent. |
Præfatio de Sanctis | Préface des Saints . |
Ant. ad Communionem. I Tim. 1, 12. | Communion |
Grátias ago Iesu Christo, quia fidélem me existimávit, ponens in ministério. | Je rends grâce à Jésus-Christ de m’avoir jugé digne de confiance en m’appelant à son service. |
Postcommunio | Postcommunion |
Deus, qui beátum Petrum, Confessórem tuum, ad honórem Sacerdótii evexísti, ut panem verbi et córporis tui in Ecclésia dispensáret : ejus imitatióne, da nobis, ad eámdem dispensatiónem vocátis, et docére ex sinceritáte quæ recta sunt, et sancta tua digne et fidéliter ministráre. | Dieu, qui avez élevé saint Pierre Fourier à l’honneur du Sacerdoce, pour qu’il dispense à l’Église le pain de votre parole et de votre Corps, donnez-nous, à son exemple, puisque nous sommes appelés à la même fonction, d’enseigner le bien avec sincérité et d’administrer vos sacrements avec dignité et fidélité. |
Et fit Commemoratio Feriæ. | Et on fait mémoire de la Férie de l’Avent. |
Dans le Diocèse de Verdun | |
Missa Os iusti, de Communi Confessoris non Pont. 1 loco, præter orationes sequentes : | Messe Os iusti, du Commun d’un Confesseur non Êvéque, sauf les oraisons suivantes : |
Oratio. | Collecte |
Deus, qui beáto Petro ardentíssima caritáte tibi conjúncto, ut némini obésset, et ómnibus prodésset, inspiráre dignátus es : concéde propítius ; ut ejúsdem précibus et exémplis, quæ tibi placent, et nobis ac áliis vere prosunt, constánter operémur. | Seigneur Dieu, vous avez inspiré à saint Pierre Fourier, qui vous était uni en une ardente charité, le désir de ne nuire à personne et d’être utile à tous. Accordez-nous par le secours de ses prières et de ses exemples, de faire constamment ce qui vous plaît et ce qui peut être vraiment utile à nous-mêmes et aux autres. |
Et fit Commemoratio Feriæ. | Et on fait mémoire de la Férie de l’Avent. |
Secreta | Secrète |
Te, Dómine, fídei nostræ salutísque auctórem cum beáto Petro confiténtes : quǽsumus ; ut hanc de mánibus nostris hóstiam laudis cleménter suscípias, quam ipse tanto cordis afféctu, tanta mentis puritáte, pro frátribus suis et óvibus sibi commíssis óbtulit. | Seigneur, nous vous reconnaissons, avec saint Pierre Fourier, comme l’auteur de notre foi et notre salut. Nous vous demandons d’accepter de nos mains ce sacrifice de louange que lui-même, dans l’élan de son cœur et la pureté de son âme, offrit pour ses frères et pour le troupeau dont il avait la charge. |
Et fit Commemoratio Feriæ. | Et on fait mémoire de la Férie de l’Avent. |
Postcommunio | Postcommunion |
Deus, qui beátum Petrum, Confessórem tuum, ad honórem Sacerdótii evexísti, ut panem verbi et córporis tui in Ecclésia dispensáret : ejus imitatióne, da nobis, ad eámdem dispensatiónem vocátis, et docére ex sinceritáte quæ recta sunt, et sancta tua digne et fidéliter ministráre. | Dieu, qui avez élevé saint Pierre Fourier à l’honneur du Sacerdoce, pour qu’il dispense à l’Église le pain de votre parole et de votre Corps, donnez-nous, à son exemple, puisque nous sommes appelés à la même fonction, d’enseigner le bien avec sincérité et d’administrer vos sacrements avec dignité et fidélité. |
Et fit Commemoratio Feriæ. | Et on fait mémoire de la Férie de l’Avent. |