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25/11 Ste Catherine, vierge et martyre

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Sommaire

  Dom Lefèvre, Missel  
  Dom Guéranger, l’Année Liturgique  
  Bhx Cardinal Schuster, Liber Sacramentorum  
  Dom Pius Parsch, le Guide dans l’année liturgique  
  Lecons des Matines  
  La Messe  

Fête déjà au rang de double avant la réforme de saint Pie V.

Dom Lefèvre, Missel

L’illustre vierge Catherine, dit le bréviaire romain, naquit à Alexandrie. Ayant joint dès sa jeunesse l’étude des arts libéraux à l’ardeur de la foi, elle s’éleva en peu de temps à une haute perfection de doctrine et de sainteté, si bien qu’à l’âge de dix-huit ans elle surpassait les plus érudits. Ayant reproché à l’empereur Maximien de tourmenter les chrétiens, celui-ci, rempli d’admiration pour la science de Catherine, rassembla de toutes parts les hommes les plus savants, afin de la faire passer avec conviction de la foi de Jésus au culte des Idoles. Le contraire arriva, car plusieurs d’entre eux furent convertis au christianisme par la force de ses raisonnements. Maximien alors fit battre Catherine de verges et de fouets garnis de plomb. Puis il là fit attacher à des roues armées de glaives aigus. Mais cette machine se rompit et le tyran ordonna que la vierge fût décapitée. Elle mourut vers 305. Elle est dans la liste des 14 Saints auxiliaires. Le mont Sinaï où le corps de Ste Catherine fut transporté par les Anges est aussi le lieu où, par le ministère des Anges, Dieu donna sa loi à Moïse.

Dom Guéranger, l’Année Liturgique

Gertrude la Grande avait eu dès l’enfance un attrait spécial pour la glorieuse vierge Catherine ; un jour qu’elle désirait connaître ses mérites, le Seigneur la lui montra sur un trône si haut et si magnifique, que, n’y eût-il pas eu de plus grande reine dans le ciel, la gloire de celle-ci aurait semblé suffire à le remplir ; de sa couronne rejaillissait sur ceux qui l’honoraient une merveilleuse splendeur [1]. On sait comment la Pucelle d’Orléans, placée par Michel Archange sous la conduite des saintes Catherine et Marguerite, reçut d’elles conseil et assistance durant sept années ; comment Sainte-Catherine-de-Fierbois fournit l’épée de la libératrice de la France

Les croisés d’Occident avaient, dans les XII° et XIII° siècles, éprouvé l’aide puissante de la Martyre d’Alexandrie ; ils rapportèrent d’Orient son culte en nos contrées, où lui fut vite acquise une popularité sans pareille. Un Ordre de chevalerie était fondé pour protéger les pèlerins qui allaient vénérer son saint corps au Mont Sinaï. Sa fête, élevée à la dignité de la première classe, comportait l’abstention des œuvres serviles en beaucoup d’églises. Les philosophes chrétiens, les écoliers, les orateurs et procureurs l’honoraient comme patronne ; le doyen des avocats fut appelé bâtonnier en raison du privilège qui lui appartenait de porter sa bannière ; tandis que les jeunes filles, organisées en confréries de Sainte-Catherine, estimaient à grand honneur le soin d’orner l’image de leur Sainte vénérée. Comptée parmi les Saints auxiliateurs à titre de sage conseillère, elle voyait beaucoup d’autres corporations se réclamer d’elle, sans autre motif plausible que l’expérience faite par tous de son crédit universel auprès du Seigneur. Ses fiançailles avec le divin Enfant, d’autres traits de sa Légende, fournirent à l’art chrétien d’admirables inspirations.

Cependant le sage et pieux Baronius regrettait déjà de son temps que, sur quelques points, les Actes de la grande Martyre d’Orient donnassent prise aux doutes dont devait s’emparer la critique outrée des siècles suivants pour amoindrir la con fiance des peuples [2]. Au grand honneur de la virginité chrétienne, il n’en reste pas moins qu’acclamée par élèves et maîtres en la personne de Catherine, elle présida dans la vénération et l’amour au développement de l’esprit humain et de la pensée, durant ces siècles où resplendirent comme des soleils les Albert le Grand, les Thomas d’Aquin, les Bonaventure. Heureux les purs de cœur ! Car ils verront Dieu [3]. « Il faut, disait Méthodius, l’évêque martyr du IIIe siècle, en son Banquet des vierges, il faut que la vierge aime d’amour les saines doctrines, et qu’elle tienne une place honorable parmi ceux que distingue leur sagesse [4]. » Nombreuses furent les compositions liturgiques inspirées à l’Occident par la fête de ce jour. Nous nous bornons à emprunter celle-ci au Graduel de Saint-Victor, en la faisant suivre d’un beau et touchant Répons conservé par les Frères Prêcheurs [5].

SEQUENCE.
Que notre chœur harmonieusement chante le Créateur, par qui toutes choses sont disposées : par lui combat celui qui ignorait la guerre, par lui sur l’homme à des jeunes filles la victoire est donnée.
Par lui les habitants d’Alexandrie sont stupéfaits de voir en une femme des qualités qui semblaient n’être pas de la femme, lorsque Catherine la bienheureuse triomphe des docteurs par sa science, du fer par son courage à souffrir.
A la gloire de sa race sa vertu sans pareille ajoute un éclat nouveau ; illustre par ceux qui la mirent au monde, illustre elle est plus encore par les mœurs saintes dont fa grâce l’a favorisée.
Tendre est la fleur de sa beauté ; point cependant elle ne lui épargne étude et labeur : de toutes sciences, qu’elles aient le monde ou Dieu pour objet, sa jeunesse s’est rendue maîtresse.
Vase de choix, vase des vertus, les biens qui passent ne sont pour elle que de la boue ; elle méprise la fortune de son père et les grands patrimoines que lui vaut sa naissance.
Vierge prudente et sage, elle se fait sa réserve d’huile pour aller au-devant de l’Epoux : elle veut, toute prête à l’heure qu’il arrivera, entrer sans retard au festin.
Pour le Christ elle désire mourir ; devant l’empereur à qui elle est présentée, l’éloquence de la vierge réduit cinquante philosophes au silence.
L’horreur de la prison où on l’enferme, et l’épreuve des roues menaçantes, la faim, les privations, tout ce qu’elle doit subir, elle le supporte pour l’amour de Dieu, toujours la même en toute rencontre.
Torturée, elle triomphe du bourreau ; la constance d’une femme a triomphé d’un empereur : c’est lui qui est dans les tourments, parce que le bourreau s’avoue vaincu avec ses supplices impuissants.
Elle est enfin décapitée ; la mort pour elle au trépas a pris fin ; elle fait joyeuse son entrée dans la vie : ce pendant que les Anges prennent soin d’ensevelir son corps en une terre lointaine.
Une huile en découle qui, par une grâce évidente, guérit beaucoup de malades ; bonne pour nous sera l’essence, si son intervention guérit nos vices.
Présente à nous, qu’elle se réjouisse en voyant les joies qu’elle nous cause ; que nous donnant les présentes joies, elle nous procure aussi les futures ; qu’elle se réjouisse avec nous ici-bas, et nous avec elle dans la gloire. Amen.
REPONS.
R/. La vierge est flagellée , chargée de liens elle est soumise au tourment de la faim, elle demeure emprisonnée, une lumière céleste emplit la prison de splendeur : * Un doux parfum se fait sentir, on entend les cantiques des phalanges des cieux. V/. L’Époux aime l’Épouse, elle reçoit la visite du Sauveur. * Un doux parfum. Gloire au Père. * Un doux parfum.

Bienheureuse Catherine, recevez-nous à votre école. Par vous la philosophie, justifiant son beau nom, conduit à la Sagesse éternelle, le vrai au bien, toute science au Christ, qui est la voie, la vérité, la vie [6] « Curieux qui vous repaissez d’une spéculation stérile et oisive, s’écrie le plus éloquent de vos panégyristes, sachez que cette vive lumière qui vous charme dans la science, ne lui est pas donnée seulement pour réjouir votre vue, mais pour conduire vos pas et régler vos volontés. Esprits vains, qui faites trophée de votre doctrine avec tant de pompe, pour attirer des louanges, sachez que ce talent glorieux ne vous a pas été confié pour vous faire valoir vous-mêmes, mais pour faire triompher la vérité. Ames lâches et intéressées, qui n’employez la science que pour gagner les biens de la terre, méditez sérieusement qu’un trésor si divin n’est pas fait pour cet indigne trafic ; et que s’il entre dans le commerce, c’est d’une manière plus haute, et pour une fin plus sublime, c’est-à-dire, pour négocier le salut des âmes [7]. »

Ainsi, ô Catherine, n’employez-vous votre science que pour la vérité. Vous faites « paraître Jésus-Christ avec tant d’éclat que les erreurs que soutenait la philosophie sont dissipées par sa présence ; et les vérités qu’elle avait enlevées viennent se rendre à lui comme à leur maître, ou plutôt se réunir en lui comme en leur centre. Apprenons d’un si saint exemple à rendre témoignage à la vérité, à la faire triompher du monde, à faire servir toutes nos lumières à un si juste devoir, qu’elle nous impose. O sainte vérité ! je vous dois le témoignage de ma parole ; je vous dois le témoignage de ma vie ; je vous dois le témoignage de mon sang : car la vérité, c’est Dieu même [8]. » L’Église, ô vierge magnanime, n’a pas d’autre pensée quand aujourd’hui elle formule ainsi pour nous sa prière : « O Dieu qui donnâtes la loi à Moïse sur le sommet du Mont Sinaï, et au même lieu par les saints Anges avez miraculeusement placé le corps de votre bienheureuse Vierge et Martyre Catherine ; exaucez nos supplications : faites que par ses mérites et son intercession nous parvenions à la montagne qui est le Christ, vivant et régnant avec vous dans les siècles des siècles [9]. »

Bhx Cardinal Schuster, Liber Sacramentorum

Malheureusement, la légende de sainte Catherine est dépourvue de toute autorité. Les anciens calendriers orientaux et égyptiens ne la nomment jamais. En Occident, le culte de sainte Catherine n’apparaît que vers le XIe siècle. Ce furent les Croisades qui le rendirent si populaire que Catherine devint l’une des saintes les plus honorées à la fin du moyen âge. Il existe en effet un grand nombre d’églises, d’autels et d’images en l’honneur de cette martyre qui fut même choisie comme protectrice des philosophes. La critique n’a pas encore dit son dernier mot sur la personnalité de sainte Catherine ; cependant, autant nous ignorons les détails de sa biographie, autant Dieu a voulu glorifier sa Sainte sur le mont Sinaï où les pèlerins, aujourd’hui encore, vénèrent son tombeau.

Sainte Gertrude qui, dès son enfance, eut une grande dévotion à sainte Catherine, demanda un jour au Seigneur de lui montrer la gloire céleste de sa Patronne. Elle fut exaucée et vit la vierge d’Alexandrie sur un trône d’or, entourée des sages qu’elle avait attirés à la vraie foi et qui formaient dans le ciel sa couronne la plus brillante.

Rome médiévale éleva en l’honneur de sainte Catherine cinq églises au moins.

La messe est du Commun, Loquébar ; sauf la collecte qui est propre.

Collecte. — « O Dieu, qui avez donné la loi à Moïse sur le sommet du mont Sinaï, et qui avez fait miraculeusement transporter en ce même lieu, par vos saints Anges, le corps de votre bienheureuse Vierge et Martyre Catherine ; faites, nous vous en supplions, que par ses mérites et son intercession, nous puissions parvenir à la montagne qui est le Christ. »

Le Christ est une montagne, parce que Lui seul, comme Dieu et homme tout ensemble, s’élève à une hauteur infinie au-dessus de toutes les choses créées. Il est une montagne pour que tous les peuples puissent le voir et s’orienter vers lui. Il est une montagne enfin, parce que le Seigneur est in circuita populi sui, de même qu’une couronne de collines entourent et protègent Jérusalem.

Dom Pius Parsch, le Guide dans l’année liturgique

Jour de mort : Les Grecs aussi bien que les Latins célèbrent sa mort le 25 novembre. Tombeau : au monastère Sainte Catherine, sur le mont Sinaï, en Arabie. Image : On la représente avec une roue, une épée et un livre. Vie : Sainte Catherine (la pure) est honorée par les Grecs comme une grande martyre. Mais le récit de son martyre est légendaire et il est difficile d’y trouver un fondement historique. La sainte jouit d’une grande faveur en Orient et en Occident ; elle appartient au groupe des quatorze Saints Auxiliaires. Son culte n’est célébré par 1a liturgie romaine que depuis le XIIIe siècle. Elle est considérée comme la patronne des Facultés de philosophie. La légende du bréviaire raconte ceci : Catherine, vierge d’Alexandrie, s’adonna à l’étude des sciences libérales, si bien qu’à 18 ans elle l’emportait sur tous par sa culture. Voyant que beaucoup de chrétiens étaient livrés à de terribles supplices sur l’ordre de l’empereur Maximin (311-313), elle se présenta sans crainte à l’empereur, lui reprocha sa cruauté et lui exposa par de très solides arguments la nécessité de la foi chrétienne pour le salut. Étonné par sa sagesse, l’empereur ordonna de la maintenir sous bonne garde et fit venir de partout les hommes les plus instruits, en leur promettant les plus hautes récompenses, s’ils parvenaient à convaincre Catherine de renoncer à la foi au Christ pour adorer les idoles. Ce fut le contraire qui arriva : plusieurs philosophes qui s’étaient présentés pour combattre Catherine furent, grâce à la profondeur et à la force de son argumentation, enflammés d’un tel amour pour Jésus-Christ qu’ils n’hésitèrent pas à donner leur vie pour lui. Alors l’empereur tenta lui-même d’ébranler la jeune vierge par des flatteries et des promesses ; mais, n’aboutissant à rien, il la fit battre de verges, flageller à coups de lanières plombées et enfermer en prison pendant onze jours sans nourriture. Ce temps passé, la femme de l’empereur et le général Porphyrius vinrent visiter la vierge dans sa prison ; tous deux furent gagnés par sa prédication à la foi au Christ et scellèrent, dans la suite, de leur sang, leur amour pour le Sauveur. Sur ces entrefaites Catherine fut tirée de sa prison et étendue sur une roue garnie de lames aiguës et tranchantes afin que tout son corps fût déchiré. Mais, lorsqu’on voulut mettre en mouvement cet instrument de supplice, il se brisa à la prière de la sainte, et beaucoup se convertirent à la foi chrétienne. Enfin l’empereur la fit décapiter le 25 novembre. Son corps fut porté par les anges sur le mont Sinaï (l’Oraison fait allusion à ce prodige) où il repose au monastère Sainte Catherine (+305 environ).

Messe (Loquebar). — La Messe est du commun des vierges-martyres ; Recueillons une fois de plus dans cette messe les pensées de la parousie. La parabole des vierges sages et des vierges folles (Ev.) est tirée du grand discours eschatologique du Christ et nous exhorte à veiller et à attendre le Seigneur. Dans l’Oraison, nous demandons la grâce de “pouvoir parvenir à la montagne qui est le Christ”.

Lecons des Matines

Leçons des Matines (avant 1960)

Quatrième leçon. L’illustre vierge Catherine naquit à Alexandrie. Ayant joint, dès sa jeunesse, l’étude des arts libéraux à l’ardeur de la foi, elle s’éleva en peu de temps à une haute perfection de doctrine et de sainteté, si bien qu’à l’âge de dix-huit ans, elle surpassait les plus érudits. Ayant vu traîner au supplice, par ordre de Maximin, beaucoup de Chrétiens qu’on avait déjà tourmentés diversement à cause de leur religion, Catherine ne craignit pas d’aller trouver ce tyran, et, lui reprochant son impie cruauté, elle lui prouva, par des raisons pleines de sagesse, que la foi en Jésus-Christ est nécessaire pour le salut.
Cinquième leçon. Maximin, rempli d’admiration pour la science de Catherine, la fit garder ; et rassemblant de toutes parts les hommes les plus savants, il leur promit de magnifiques récompenses, s’ils pouvaient la faire passer avec conviction de la foi du Christ au culte des idoles. Le contraire arriva : car plusieurs de ces philosophes réunis pour la convaincre, furent, par la force et la précision de ses raisonnements, embrasés d’un si grand amour envers Jésus-Christ, qu’ils n’auraient point hésité à mourir pour lui. Maximin entreprend donc, par les flatteries et les promesses, d’amener Catherine à d’autres sentiments ; mais comprenant qu’on l’essaierait en vain, il la fait battre de verges, meurtrir à coups de fouets garnis de plomb, puis la retient onze jours en prison, sans nourriture ni boisson.
Sixième leçon. C’est alors que l’épouse de Maximin, et Porphyre, général de ses armées, entrèrent dans la prison pour voir la jeune vierge. Persuadés par ses discours, ils crurent en Jésus-Christ, et reçurent dans la suite la couronne du martyre. Cependant Catherine fut tirée du cachot ; on avait préparé une roue, où se trouvaient fixés de proche en proche des glaives aigus pour déchirer cruellement le corps de la vierge. Mais cet instrument de supplice fut bientôt mis en pièces à la prière de Catherine, et plusieurs, à la vue de ce miracle, embrassèrent la foi de Jésus-Christ. Maximin n’en étant que plus obstiné dans son impiété et sa cruauté, ordonna de décapiter Catherine. Elle présenta courageusement sa tête à la hache du bourreau, et s’envola au ciel, pour recevoir la double récompense de la virginité et du martyre. C’était le septième jour des calendes de décembre. Son corps fut miraculeusement transporté par les Anges sur le mont Sinaï, en Arabie.

La Messe

die 25 novembris
le 25 novembre
SANCTÆ CATHARINÆ
SAINTE CATHERINE
Virg. et Mart.
Vierge et Martyre
III classis (ante CR 1960 : duplex)
IIIème classe (avant 1960 : double)
Missa Loquébar, de Communi Virginum 1 loco, præter orationem sequentem :Messe Loquébar, du Commun des Vierges 1, sauf l’oraison suivante :
Oratio.Collecte
Deus, qui dedísti legem Móysi in summitáte montis Sínai, et in eódem loco per sanctos Angelos tuos corpus beátæ Catharínæ Vírginis et Mártyris tuæ mirabíliter ollocásti : præsta, quǽsumus ; ut, eius méritis et intercessióne, ad montem, qui Christus est, perveníre valeámus : Qui tecum.O Dieu, qui avez donné la loi à Moïse sur le sommet du mont Sinaï, et qui avez fait miraculeusement transporter en ce même lieu, par vos saints Anges, le corps de votre bienheureuse Vierge et Martyre Catherine ; faites, nous vous en supplions, que par ses mérites et son intercession, nous puissions parvenir à la montagne qui est le Christ.

[1] Legatus divinae pietatis, IV, LVII.

[2] Baron. Annal, ad ann. 307.

[3] Matth. 5, 8

[4] Method. Conviv. Oratio I, 1.

[5] Troisième Répons du II° Nocturne de la fête.

[6] Jean 14, 6

[7] Bossuet, Panégyrique de sainte Catherine.

[8] Bossuet, Panégyrique de sainte Catherine.

[9] Collecte du jour.