Textes de la Messe |
Office |
Dom Guéranger, l’Année Liturgique |
Bhx cardinal Schuster, Liber Sacramentorum |
Dom Pius Parsch, Le guide dans l’année liturgique |
Avant le calendrier de St Pie X qui fixa la fête de St Hyacinthe le 17 août, la déplaçant du 16, nouveau jour de la fête de St Joachim, ce jour était depuis des siècles le jour Octave de St Laurent.
Mort le 15 août 1257. Canonisé en 1594 par Clément VIII. Fête en 1625 au 16 août comme double. Déplacé en 1911 au 17 août.
Missa Os iusti de Communi Confessoris non Pontificis I loco. | Messe Os iusti du Commun d’un Confesseur non Évêque I. |
Leçons des Matines avant 1960.
Au deuxième nocturne.
Quatrième leçon. Hyacinthe était Polonais ; il naquit de parents nobles et chrétiens au château de Kamin, dans le diocèse de Breslau. Instruit dès l’enfance dans les lettres, il étudia plus tard la sainte Écriture. Mis au nombre des Chanoines de Cracovie, il brilla plus que tous les autres par l’insigne piété de sa vie et sa profonde érudition. Reçu à Rome dans l’Ordre des Frères Prêcheurs par le fondateur même, saint Dominique, il pratiqua avec la plus grande sainteté, jusqu’à la fin de sa vie, la règle parfaite qu’il en avait reçue. Il conserva une perpétuelle chasteté, fit ses délices de la modestie, de la patience, de l’humilité, de l’abstinence et des autres vertus, comme du patrimoine assuré d’un religieux.
Cinquième leçon. Son brûlant amour pour Dieu le portait souvent à passer des nuits entières à prier et à châtier son corps, auquel il n’accordait d’autre soulagement que l’appui d’une pierre et d’autre couche que la terre nue. Renvoyé dans sa patrie, il fonda à Frisac d’abord, un très grand couvent de son Ordre, puis un second à Cracovie. Après en avoir élevé quatre dans les autres provinces du royaume de Pologne, il y fit d’incroyables fruits de salut par la prédication de la parole divine et la pureté de sa vie. Il ne passa pas de jour sans donner quelque preuve éclatante de sa foi, de sa piété et de sa sainteté.
Sixième leçon. Le zèle de ce très saint homme pour le salut du prochain fut divinement signalé par les plus grands miracles. L’un des plus éclatants eut lieu lorsque, près de Wisgrade, il traversa sans bateau la Vistule débordée et fit passer ses compagnons sur les flots en y étendant son manteau. Ayant persévéré, depuis sa profession, près de quarante années dans un genre de vie admirable et annoncé d’avance à ses frères le jour de sa mort, il rendit son âme à Dieu en la fête même de l’Assomption de la Vierge, après avoir récité les Heures canoniales, et reçu avec le plus profond respect, les sacrements de l’Église. Ce fut en prononçant ces paroles : « Entre vos mains, Seigneur, je remets mon esprit », l’an du salut douze cent cinquante-sept. De nouveaux miracles le rendirent illustre après sa mort, et le Pape Clément VIII le mit au nombre des saints.
Au troisième nocturne. Du Commun.
Lecture du saint Évangile selon saint Luc. Cap. 12, 35-40.
En ce temps-là : Jésus dit à ses disciples : Que vos reins soient ceints, et les lampes allumées dans vos mains. Et le reste.
Homélie de saint Grégoire, Pape. Homilia 13 in Evang.
Septième leçon. Mes très chers frères, le sens de la lecture du saint Évangile que vous venez d’entendre est très clair. Mais de crainte qu’elle ne paraisse, à cause de sa simplicité même, trop élevée à quelques-uns, nous la parcourrons brièvement, afin d’en exposer la signification à ceux qui l’ignorent, sans cependant être à charge à ceux qui la connaissent. Le Seigneur dit : « Que vos reins soient ceints ». Nous ceignons nos reins lorsque nous réprimons les penchants de la chair par la continence. Mais parce que c’est peu de chose de s’abstenir du mal, si l’on ne s’applique également, et par des efforts assidus, à faire du bien, notre Seigneur ajoute aussitôt : « Ayez en vos mains des lampes allumées ». Nous tenons en nos mains des lampes allumées, lorsque nous donnons à notre prochain, par nos bonnes œuvres, des exemples qui l’éclairent. Le Maître désigne assurément ces œuvres-là, quand il dit : « Que votre lumière luise devant les hommes, afin qu’ils voient vos bonnes œuvres, et qu’ils glorifient votre Père qui est dans les cieux ».
Huitième leçon. Voilà donc les deux choses commandées : ceindre ses reins, et tenir des lampes ; ce qui signifie que la chasteté doit parer notre corps, et la lumière de la vérité briller dans nos œuvres. L’une de ces vertus n’est nullement capable de plaire à notre Rédempteur si l’autre ne l’accompagne. Celui qui fait des bonnes actions ne peut lui être agréable s’il n’a renoncé à se souiller par la luxure, ni celui qui garde une chasteté parfaite, s’il ne s’exerce à la pratique des bonnes œuvres. La chasteté n’est donc point une grande vertu sans les bonnes œuvres, et les bonnes œuvres ne sont rien sans la chasteté. Mais si quelqu’un observe les deux préceptes, il lui reste le devoir de tendre par l’espérance à la patrie céleste, et de prendre garde qu’en s’éloignant des vices, il ne le fasse pour l’honneur de ce monde.
Neuvième leçon. « Et vous, soyez semblables à des hommes qui attendent que leur maître revienne des noces, afin que lorsqu’il viendra et frappera à la porte, ils lui ouvrent aussitôt ». Le Seigneur vient en effet quand il se prépare à nous juger ; et il frappe à la porte, lorsque, par les peines de la maladie, il nous annonce une mort prochaine. Nous lui ouvrons aussitôt, si nous l’accueillons avec amour. Il ne veut pas ouvrir à son juge lorsqu’il frappe, celui qui tremble de quitter son corps, et redoute de voir ce juge qu’il se souvient avoir méprisé ; mais celui qui se sent rassuré, et par son espérance et par ses œuvres, ouvre aussitôt au Seigneur lorsqu’il frappe à la porte, car il reçoit son Juge avec joie. Et quand le moment de la mort arrive, sa joie redouble à la pensée d’une glorieuse récompense.
Un des plus beaux lis du champ des Prêcheurs vient s’épanouir au pied du trône où s’est assise la Reine des cieux. Hyacinthe représente, au Cycle sacré, la légion d’intrépides missionnaires qui, dans les XIIIe et XIVe siècles, s’élancèrent au-devant de la barbarie tartare et musulmane menaçant l’Occident. Des Alpes aux frontières septentrionales de l’empire chinois, des îles de l’Archipel aux terres arctiques, il propagea son Ordre et accrut le royaume de Dieu. Dans les steppes où le schisme de Byzance disputait ses stériles conquêtes à l’idolâtrie des envahisseurs du Nord, on le vit, quarante années durant, semer les prodiges, confondre l’hérésie, dissiper les ténèbres de l’infidélité.
Pas plus qu’au premier apostolat ne devait manquer à celui-ci la consécration du martyre. Que d’admirables épisodes, où les Anges du ciel semblèrent vouloir illuminer de leur sourire les rudes combats de leurs frères de la terre ! Au couvent fondé par Hyacinthe à Sandomir sur la Vistule, quarante-huit Frères Prêcheurs étaient rassemblés sous la conduite du Bienheureux Sadoc ; un jour, le lecteur du Martyrologe, proclamant la fête du lendemain, lit cette formule qui se déroule sous ses yeux en lettres d’or : A SANDOMIR, LE QUATRE DES NONES DE JUIN, LA PASSION DE QUARANTE-NEUF MARTYRS. Surpris d’abord, les Frères ont vite compris l’annonce inusitée : dans l’allégresse de leurs âmes, ils se disposent à cueillir la palme qu’une irruption de Tartares leur procure au jour dit ; c’est au chant du Salve Regina que, réunis au chœur à l’heure fortunée, ils teignent de leur sang le pavé du temple.
Hyacinthe ne terminera pas sous le glaive des bourreaux sa carrière glorieuse. Jean, le disciple bien-aimé, avait dû demeurer ici-bas jusqu’à ce que vint le Seigneur [1] ; c’est la venue au-devant de lui de la Mère du Seigneur qu’attend notre Saint.
Ni le labeur toutefois, ni les souffrances les plus extrêmes, ni davantage les plus merveilleuses interventions d’en haut ne manquent à sa vie toute céleste. Kiev, la ville sainte des Russies, a résisté cinq ans au zèle de l’apôtre ; les Tartares passent sur elle comme la justice du Tout-Puissant. Tout est à sac dans l’indocile cité. L’universelle dévastation atteint les portes du sanctuaire où l’homme de Dieu achève à peine l’auguste Sacrifice. Revêtu comme il l’est des ornements sacrés, il prend d’une main le divin Sacrement, de l’autre la statue de Marie qui lui demande de ne pas la laisser aux barbares ; et sain et sauf avec ses Frères, il traverse les hordes païennes enivrées de carnage, les rues en flammes, le Dniepr enfin, l’ancien Borysthène, dont les flots rapides, affermis sous ses pieds, garderont la trace de ses pas. Trois siècles plus tard, les témoins entendus au procès de canonisation attestèrent, sous la foi du serment, que le prodige persévérait encore ; on donnait dans le pays le nom de chemin de saint Hyacinthe à ces vestiges toujours visibles sur les eaux d’une rive à l’autre.
Cependant le Saint, poursuivant sa retraite miraculeuse jusque dans Cracovie, y déposa au couvent de la Trinité son précieux fardeau. Légère comme un roseau tant qu’il l’avait portée, la statue de Marie reprit son poids naturel, trop considérable pour qu’un seul homme pût l’ébranler. C’est près d’elle qu’après bien d’autres travaux, Hyacinthe reviendra mourir.
Une première fois, au même lieu, dans les débuts de sa vie apostolique, la divine Mère était vers lui descendue : « Aie bon courage et sois joyeux ; disait-elle, mon fils Hyacinthe ! Tout ce que tu demanderas en mon nom te sera accordé ». C’était en la Vigile de la glorieuse Assomption qu’avait eu lieu l’ineffable entrevue Le bienheureux y puisa la confiance surhumaine du thaumaturge que nul obstacle n’arrêta jamais ; il en avait surtout gardé le parfum virginal qui embauma toute sa vie, le rayonnement de beauté surnaturelle qui fit de lui l’image de son père Dominique.
Les années ont passé ; centre privilégié des travaux d’Hyacinthe, l’héroïque Pologne est prête désormais à soutenir sous l’égide de Marie son rôle de boulevard de la chrétienté. Au prix de quels sacrifices, c’est ce qu’Hedwige, la contemporaine de notre Saint, la bienheureuse mère du héros de Liegnitza, doit nous dire en octobre, En attendant, comme saint Stanislas qui le précéda au labeur, c’est à Cracovie, la capitale du noble royaume aux plus beaux temps de ses luttes immortelles, que le fils de Dominique doit son dernier soupir et le trésor de sa dépouille sacrée. Non plus en la vigile, mais au jour même de son triomphe, le 15 août 1267, dans l’église de la Très Sainte Trinité Notre-Dame est redescendue ; les Anges lui font une escorte brillante, les Vierges forment sa cour. « Oh ! qui êtes-vous ? » s’écrie une sainte âme de la terre, pour qui l’extase a déchiré les voiles de la mortalité. « Je suis, répond Marie, la Mère de la miséricorde ; et celui-ci, qui a sa main dans la mienne, est frère Hyacinthe, mon très dévot fils, que j’emmène aux noces éternelles ». Puis Notre-Dame entonne elle-même de sa douce voix : Je m’en vais aux collines du Liban [2] ; et Anges et Vierges poursuivant dans un ineffable concert le chant du ciel, le cortège fortuné disparaît vers les sommets resplendissants de la patrie.
Votre privilège fut grand, ô fils de Dominique, associé à Marie de si près que le jour de son triomphe vous vit vous-même entrer dans la gloire ! Occupant si belle place dans le cortège qui la conduit aux cieux, dites-nous ses grandeurs, sa beauté, son amour pour les pauvres humains qu’elle voudrait faire tous participer comme vous à son bonheur.
Par elle vous fûtes puissant dans la vallée d’exil, en attendant d’être près d’elle bienheureux et glorieux. Longtemps après les Adalbert et les Anschaire, les Cyrille et les Méthodius, vous parcourûtes à nouveau les ingrats sentiers de ce septentrion où renaissent si promptement les épines et les ronces, où ces peuples que l’Église eut déjà tant de peine à délivrer du joug païen, se reprennent sans cesse dans les filets du schisme, dans les pièges de l’hérésie. Sur ce domaine de sa prédilection [3], le prince des ténèbres éprouva de nouvelles défaites, une multitude infinie brisa ses chaînes, et la lumière du salut brilla plus loin qu’aucun de vos prédécesseurs ne l’avait portée. Conquête définitive pour l’Église, la Pologne devint son rempart, jusqu’aux jours de trahison qui marquèrent la fin de l’Europe chrétienne.
O Hyacinthe, gardez la foi au cœur des fils du noble peuple, en attendant le jour de la résurrection. Implorez grâce pour les régions du Nord, un instant échauffées au souffle ardent de votre parole. Rien de ce que vous demanderez par Marie ne saurait vous être refusé ; c’est la promesse de cette Mère de la miséricorde.
Maintenez le zèle de l’apostolat dans votre Ordre illustre. Puisse s’y multiplier le nombre de vos frères, trop au-dessous des besoins de nos temps.
Au pouvoir qui vous fut donné sur les flots se rattache celui que la confiance des fidèles, justifiée par tant de prodiges, vous attribue de rappeler à la vie les malheureux noyés. Maintes fois aussi les mères chrétiennes ont éprouvé votre puissance allant jusqu’au miracle, pour amener à la fontaine du salut les fruits de leur sein qu’un enfantement laborieux menaçait de priver du baptême. Montrez à vos dévots clients que la bonté de Dieu est toujours la même, que le crédit de ses élus n’est point amoindri.
Cet illustre fils de la Pologne était chanoine de Cracovie quand la prédication et les miracles de saint Dominique le décidèrent à abandonner le siècle, et il reçut l’habit des Frères Prêcheurs à Rome, des mains du saint Fondateur lui-même. En 1218, durant les premiers mois de son noviciat, il résida sur l’Aventin, dans le couvent annexé au Titre de Sabine ; plus tard, revenu dans sa patrie, il propagea merveilleusement son Ordre, pour lequel il fonda les couvents de Frisak, de Cracovie, de Prague, de Wratislau et de Dantzig. Il ressuscita plusieurs morts, passa des fleuves à pied sec et rendit la vue à des aveugles. Quand il mourut, le 16 août 1257, un cadavre revint à la vie. Clément VIII canonisa saint Hyacinthe en 1594.
Les Bollandistes ont publié divers récits de miracles opérés par ce thaumaturge, et il y est question, entre autres, d’une vingtaine, au moins, de morts rappelés à la vie par son intercession.
La messe est celle du Commun, Prière. — « Seigneur qui avez daigné nous réjouir par la solennité du bienheureux Hyacinthe, votre confesseur, accordez-nous, dans votre bonté, d’imiter aussi les œuvres de celui dont nous célébrons aujourd’hui la naissance au ciel. Par notre Seigneur ». Les fêtes des saints excitent l’âme aux grandes entreprises, et leur intercession près du Seigneur répand une douce joie dans le cœur, qui se sent moins seul sur cette terre d’exil, du moment qu’un grand frère, puissant et affectionné, veille sur ses pas vers le ciel.
Je remets mon esprit entre tes mains.
1. Saint Hyacinthe. — Jour de mort : 15 août 1257. Tombeau : A Cracovie. Vie : Le saint était d’abord chanoine à Cracovie ; touché par la prédication et les miracles de saint Dominique, il quitta le monde et reçut des mains du fondateur lui-même l’habit des dominicains. Revenu dans son pays, il fonda au-delà des Alpes de nombreux couvents de son ordre. La prière des Heures raconte un miracle de sa vie : Le saint était arrivé avec trois de ses compagnons sur les bords de la Vistule, qu’il voulait traverser pour aller prêcher à Visegrad ; mais les eaux étaient si hautes qu’aucune embarcation n’osait s’y risquer. Hyacinthe étendit alors son manteau sur les flots et traversa ainsi le fleuve avec ses compagnons. Il mourut le 15 août 1257, après avoir récité son bréviaire, en disant : « Seigneur, je remets mon esprit entre vos mains ! »
Pratique : La prière du soir de l’Église (Complies) est, elle aussi, une belle prière pour la mort, spécialement dans sa dernière partie ; les deux images de la mort sont saisissantes : le Christ est suspendu à la croix et prononce sa dernière parole : « Père, je remets mon esprit entre tes mains » ; nous répétons plusieurs fois cette parole et nous remettons notre âme entre les mains du Christ pour le sommeil et, quand le moment sera venu, pour la mort. Pour notre saint cette parole était vraiment la prière de la mort. La seconde image : le vieillard Siméon entonne son chant du cygne : « Maintenant laisse aller ton serviteur... » ; comme ce chant est bien à sa place sur les lèvres d’un chrétien qui meurt !
3. La Messe (Os justi) du commun des confesseurs. — Les messes du commun contiennent de puissants enseignements pour la formation chrétienne. L’Église en effet a pénétré les textes du commun de son idéal de vie. Voyons la formule de notre messe d’aujourd’hui ; j’en souligne seulement quelques passages : A l’Introït, il est dit que le juste (Justus, un mot cher à la liturgie) est maître de sa langue ; à vrai dire, la parole n’est que le petit ruisseau dont le cœur est la source ; mais celui-ci est rempli de l’amour de Dieu.
La Leçon exprime une nouvelle idée : Le juste se tient au-dessus des choses, des biens de ce monde. Pour lui les créatures, y compris l’or trompeur, ne sont que des moyens en vue du but ; la fin, c’est Dieu. Notre grande faute est de nous arrêter aux moyens ; nous faisons ainsi des biens de ce monde nos idoles. Seul le saint s’élève vraiment au-dessus des choses.
L’Alléluia dit que tout juste doit passer par le feu de la souffrance. C’est le seul moyen de subir l’épreuve et de gagner la couronne de vie. Sans portement de croix, pas de sainteté.
Enfin l’Évangile présente le juste comme un serviteur vigilant qui attend. Pour le Sauveur la perfection consiste à être toujours prêt. Que cette image est donc belle ! Le saint se tient là, avec sa lampe allumée et les reins ceints, et il guette attentivement jusqu’à ce que le Maître frappe. La lampe est la lumière de la grâce baptismale, les reins ceints sont l’éloignement du péché.
Avec cette image, l’Église nous conduit au Saint-Sacrifice. A la Communion le Maître frappe réellement et nous trouve vigilants. Ainsi chaque messe est comme une répétition générale en vue de sa venue réelle à la mort.
Quels principes de vie dans un pareil commun !